Bonjour à tous et toute,

Ce post s'adresse à toute les personnes qui tomberaient sur mon blog en cette période de noël. Si vous êtes ici, ce n'est pas par hasard...  Je ne sais pas vraiment comment dire ça, alors je vais le faire simplement: A toute les personnes tristes, malades, seules... Je vous souhaites un joyeux noël. Je pense fort à vous, toute ces personnes allant si mal lors d'une période sensée être si heureuse. Ne perdez pas espoir, vous allez guérir j'en suis persuadée, vous êtes assez fort(e)s pour le faire. Encore un joyeux noël et une bonne année. ♥

Un conférencier bien connu commence son séminaire en tenant bien haut un billet de 20.00 $.

Il demande aux gens : - Qui aimerait avoir ce billet ? Les mains commencent à se lever. Alors il dit : - Je vais donner ce billet de 20.00 $ à l'un de vous, mais avant laisser-moi d'abord faire quelque chose avec. Il chiffonne alors le billet avec force et il demande : - Est-ce que vous voulez toujours de ce billet ? Les mains continuent à se lever.

Bon, d'accord, mais que se passeras-t-il si je fais cela. Il jette le billet froissé par terre et saute à pied joints dessus, l'écrasant autant que possible et le recouvrant des poussières du plancher. Ensuite il demande : - Qui veut encore avoir ce billet ? Évidemment, les mains continuent de se lever !

Mes amis, vous venez d'apprendre une leçon... Peu importe ce que je fais avec ce billet, vous le voulez toujours parce que sa valeur n'a pas changé. Il vaut toujours 20.00 $.

Plusieurs fois dans votre vie vous serez froissés, rejetés, souillés par les gens ou par les événements. Vous aurez l'impression que vous ne valez plus rien, mais en réalité votre valeur n'aura pas changé aux yeux des gens qui vous aiment !

La valeur d'une personne ne tient pas à ce qu'elle a fait ou ne fait pas. Vous pourrez toujours recommencer et atteindre vos objectifs car votre valeur demeure toujours intacte.

L'anhédoquoi?

L'anhédonie est un symptôme que l'on retrouve chez certaines pathologie psychiatrique, notamment la schizophrénie et la dépression majeure, et qui caractérise une perte du plaisir. Le sujet ne constatera aucune émotions positive sur des choses qui lui étaient autrefois plaisante. Pour simplifier, c'est l'impossibilité d'être heureux, gai, joyeux...

Comment on s'en sort?

Il faut tout d'abord consulter un psy, si vous en avez déjà un qui suis votre dépression, parlez lui de ces symptômes (qui sont tout à fais normaux dans une dépression). Ensuite, il n'y à pas grand choses à faire, à part vous fixer des défis. Si vous aviez une passion, regardez ce que vous faisiez, souvenez vous de ces moments, respirez et fermez les yeux, et essayer de ressentir ce que vous ressentiez lors de ces moments. Si vous adoriez un plat en particulier, vous pouvez lire l'article sur l'alimentation.

Faites preuve d'imagination. La moindre petite choses sera un défi à remporter. Si vous y arrivez, soyez fier de vous, et recommencez. Plus vous arriverez à sentir ces sentiments, et plus vous briserez le cercle vicieux de la dépression. Imaginez qu'à chaque petite réussite, vous brisez cette boucle, et vous vous vengez contre elle. Si malgré de nombreuses tentatives vous n'arrivez pas à un défi, changez, ou faîtes une pause, mais surtout, ne vous apitoyez pas sur votre sort, ne vous dîtes pas que vous êtes nul. Cela ne sera pas un échec tant que vous n'aurez pas abandonné.

Quelques idées de défis à se lancer

Faîtes tout ces défis en imaginant que rien n'a jamais changé, et que cela vous plaît toujours autant, essayez de vous concentrez sur votre joie, celle que vous ressentiez auparavant lorsque vous faisiez cela. Si ce sentiment apparaît, même si c'est juste une lueur, alors bravo, continuez!

1. Faire une activité qui vous plaisait
2. Sortir dans un endroit que vous adoriez
3. Passez une soirée film (que vous adorez bien-entendu!), pop-corn ou chocolat, lumière tamisées, et profitez de l'instant
4. Plus étrange: Regardez vous droit dans les yeux dans un miroir et répétez que vous êtes heureux (ça peut marcher!)
5. Mettre une musique que vous adoriez et qui vous donnez envie de danser et essayez de ressentir cette envie de bouger
6. Pour les femmes: Faites vous belle et regardez vous dans un miroir: Éprouvez de la satisfaction et du plaisir à vous regarder

L'alimentation

Pour retrouver une certaine force, et une certain équilibre de vie malgré le manque de motivation intérieur, il faut une bonne alimentation. Cela à toujours été dis: Nous sommes le reflet de ce que nous mangeons. Ainsi, pour mieux comprendre cette phrase donnons un exemple.

Imaginez que vous avez la peau et les cheveux gras, et des boutons sur votre visage aussi. Cela peut très bien être la faute à votre assiette. Si elle est souvent remplis de fritures: de frites, de beignets et de choses grasse et bourrée d'huile, cela n'est pas étonnant. Il faudra pour régler le problème, avant tout rééquilibrer vos repas.

Maintenant donnons un autre exemple mieux approprié aux cas de dépression. Certes, vos pensées noires; votre tristesse; votre angoisse, vous mangent de l'intérieur (sans mauvais jeux de mots), mais il est tout aussi possible que cette fatigue trop exagérée vienne de carences alimentaires, ou d'une sous alimentation. Rééquilibrer vos repas sera alors une des solutions pour diminuer cette fatigue. Je dis bien la diminuer, car il y à des tas d'autres facteurs possible à cette fatigue. Vous pouvez aussi faire des prises de sang. Des symptômes bénin comme des étourdissements et des maux de tête fréquents peuvent être la cause d'une carences en fer par exemple.

Que faut-il manger alors?

De tout. Cela va paraître flou, mais c'est bien comme ça que ça fonctionne. Pour vous aider à mettre en application ce conseil, voilà comment vous pouvez répartir cela. Pour les laitages, un verre de lait le matin, un yaourt le midi et du fromage le soir. Concernant les fruit et légumes, vous pouvez manger des légumes à midi, et manger un fruit le matin et à 16h. Buvez aussi beaucoup d'eau, car la fatigue peut être causée par une grande déshydratation, qui est constante et dont on ne se rend pas forcement compte, de la même façon, vous pouvez souffrir de maux de tête. Aussi, évitez toute formes de grignotages. Les personnes angoissées ont cette tendance là d'avaler toute les choses les plus sucrées et grasses qu'elles trouvent pour remplir leur vide et masquer leur anxiété. Cela peut vous conduire vers le surpoids, ou pire, et ça ne vous aidera pas du tout. Trouvez autre chose pour votre angoisse.

Je n'ai pas la force de faire les repas

Cela est l'un des plus grand problèmes rencontré. La personne, souvent morte de fatigue et empli de désespoir ne trouve pas la force de faire à manger. Essayez de vous motiver. Donnez vous une heure, ou un déclencheur. Par exemple si vous êtes affalé sur votre canapé à regarder la télé et que vous vous sentez mort de fatigue, dîtes vous " A la fin de cette émission, j'eteind la télé et je me lève pour faire à manger." Si vous le pouvez, dites-le à votre entourage pour qu'ils vous aide à vous motiver, où qu'ils viennent faire la cuisine avec vous. Si vous n'avez pas l'habitude de cuisiner, cela pourrais même être un défi, un but à vous fixer, qui vous aiderez. En effet cela peut être compliqué, mais ce n'est pas en restant affalé dans votre canapé que cela changera les choses.

Je n'ai pas faim

Si vous n'avez vraiment pas faim alors que c'est l'heure habituelle où vous mangez, vous n'êtes pas obligé de faire le repas de suite. Attendez 30 minutes, 1 heure s'il le faut, tout en gardant une marge de 1h30 avant de vous coucher, et comme dis dans l'article sur le sommeil, ne prenez ni thé, ni café. Surtout ne sautez pas le repas, même si vraiment, vous n'avez pas faim, mettez vous à table quand même pendant 15 minutes, prenez de l'eau, un peu de légumes... Cela fais peu, mais c'est important de manger pour ne pas dormir encore plus mal en se faisant réveiller par des crampes d'estomacs. Évitez aussi de manger après 21h, car tout aliments gérer à partir de cette horaire sera absorbé en graisse.

Je ne choisi pas les repas

Si c'est vos parents, ou une quelconque autre personne qui fais à manger d'habitude, parlez-lui en. Dites lui que vous aimeriez manger autre chose, demandez lui des repas en particuliers, et faites lui savoir que si elle veux bien, vous pourrez lui tenir compagnie et même l'aider lors de la confection des repas.

Fixez-vous un défi: Essayez de trouver des aliments qui vous ferais plaisir. Des aliments ou des plats que vous aviez l'habitude d'aimer, et lorsque vous les mangez, concentrez vous sur le goût, essayez de ressentir le plaisir que vous ressentiez quand vous les mangiez. Si vous y parvenez, c'est une grande victoire. Car il est vrai que, souvent, les gens en dépression n'ont plus aucune envie. Les aliments n'ont plus aucunes saveurs dans leur bouches.

Souvent, les personnes dépressives ont un mode de vie que l'ont pourrais qualifier de malsain. Ce n'est pas entièrement leur fautes, sans s'en rendre compte, elles ne s'occupent plus de rien, ou mal, la tristesse emporte avec elle toute la motivation et la force des malades. Alors au début ces personnes se disent qu'elle le feront plus tard, mais au fur et à mesure, plus rien n'a d'importance pour elles. Manger fast food tout les jours, ou ne pas manger du tout; se coucher à 3heures du matin et se lever à 15h, ou alors ne dormir que très peu; s'isoler complètement, ne pas avoir une très bonne hygiène; etc...
Ces personnes se laissent aller autant qu'elles le peuvent, mais ne s'en rendent pas forcement compte tout de suite, jusqu'au jour ou elle vont se dire que, tient, bah oui, ça fais une semaine qu'elles sont dans leur canapé, dans le noir, et qu'il y à peut-être quelques chose qui cloche et qu'il faudrait changer.

Le sommeil

Le sommeil est une des choses les plus importantes. Il a été prouvé que les personnes qui se couchaient tard, et celle qui sont fatiguées car elles ne dorment pas assez, on beaucoup plus de risque de tomber en dépression que les autres.

Mais si je souffre d'insomnie?

L'insomnie se manifeste de plusieurs façon:

• des difficultés d'endormissement
• des éveils nocturnes
• un réveil trop précoce le matin

Le sommeil est vécu comme léger ou presque inexistant, et donc non reposant. La plupart du temps lors de la dépression, l'insomnie est crée par l'angoisse et le flot de pensées qui ne cesse pas lors du moment du coucher. Il existe des thérapie comportementales pour regler se problème, comme certaines thérapie, qui permettent de rétablir un rythme veille-sommeil satisfaisant, en diminuant notamment de 50 % le temps d'endormissement et la durée des réveils nocturnes. Il y a aussi quelques conseils d'hygiène de vie à suivre, comme:

• Ne pas boire de café, ou toute substances comportant de la caféine ou de la théine
• Ne pas regarder la télé ou être sur l'ordinateur le soir, mais plutôt lire un livre

Il existe aussi des traitements médicamenteux, renseignez vous auprès de votre psy ou médecin.

Mais dans la plupart des cas, le travail sera à faire sur les pensées et l'angoisse, et donc sur la dépression, pour pouvoir retrouver un rythme de sommeil satisfaisant. Les idées noires empêchent l'endormissement, et pour savoir ça, pas besoin d'être médecin!

Mais si je souffre d'hypersomnie?

L'hypersomnie touche 1 personnes sur 1000. C'est rare, en effet, mais ça n'en est pas moins handicapant dans la vie de tous les jours. La personne ressent presque constamment une fatigue, elle peut dormir jusqu'a 14 heures d'affilés, parfois plus. De la même façon que pour l'insomnie, demandez à votre médecin quel traitement vous conviendra le mieux. Je n'ai pas véritablement de conseils à prodiguer à ces personnes, étant donné que je ne m'y connais que très peu sur le problème.

Mais si j'ai juste pas envie de dormir?

A ce stade-là, c'est juste une question de volonté! Les conseils donné ci-dessus valent aussi si vous n'avez pas envie de dormir! Éteignez pc et télé, et instaurez une routine du soir. Même si vous vous sentez trop épuisé ou trop déprimé, il faut parfois donner de soi même pour guérir. Donnez vous 10 minutes chaque soir, à la même heure, ou vous faîtes votre routine, pour indiquer à votre corps "Je vais dormir, met toi en mode sommeil!". Parmi les choses à faire, voilà quelques exemples:

• Se démaquiller
• Aller aux toilettes
• Se brosser les dents
• Lire, faire une activité au calme
• Se mettre en pyjama
• Boire une tisane ou une infusion calmante, pour le sommeil
• Écouter de la musique

Ce ne sont bien sur qu'un nombre restreint d'exemples!

Quelques conseils

Ne prenez pas de bain trop chaud avant de vous coucher, cela empêche de s'endormir. Essayez de vider votre tête de toute pensées. Cela va peut-être paraître bête, mais si vous n'arrivez pas à penser positif, alors arrêtez de penser complètement, plutôt que de vous focaliser sur vos idées noires. La méditation peut aider à ça. Se coucher et se lever toujours à la même heure peut aider aussi à mieux dormir. Les premiers jours, vous serez fatigués, puis votre corps s'habituera, et il dormira quand il le faudra. Aussi, évitez un maximum les siestes de plus de 20 minutes.

Je sais pertinemment que tout ces conseils sont bien plus facile à écrire ou à lire qu'a mettre en action, mais vous forcer, et essayer, même rien qu'une semaine, ne peut pas vous tuer. Je vous souhaite bon courage.

Aussi étonnant que cela puisse paraître pour certains, qui se mettrons à gémir des "Oh mais à cet âge là ils n'ont pas de problèmes!" , la dépression des adolescents existe bel et bien, au même titre que celle des enfants, dont je parlerais plus tard.

Reconnaître la dépression des ados

La plupart des symptômes sont identiques à ceux de la dépression majeure que l'on retrouve chez les adultes, à quelques exceptions près tel que l'absenteisme en cours, la baisse des notes, et/ou un trouble de l'alimentation (plus souvent présent chez les jeunes adolescentes). Au moins 5 symptômes devront être présent durant au moins 2 semaines.

Le mal-être est exprimé de façon différentes selon le sexe de l'ado

En effet, chez les garçons, la dépression va plutôt être masquée sous un excès d'agressivité. L'ado refusera le dialogue, sera violent avec ces camarades de classe, aura des excès de colère sans raisons apparentes. La plupart des parents mettront ça sur le compte de la "crise d'adolescence", et traitera le jeune de "sale gosse" ou de "mal élevé", ce qui ne fera que renforcer son mal-être.

Chez les filles, la dépression va être intérioriser en quelques sortes, cela se traduira par une passivité, un évitement ou détournement des dialogues, et par l'automutilation parfois. Les chercheurs on constatés que c'etait le plus souvent les adolescentes qui s'automutilaient, que les adolescents. Et, comme dis plus haut, cela peut aussi se traduire par les TCA (troubles comportement alimentaire), mais à ce moment là il faut faire attention à bien savoir si la dépression est la cause ou la conséquence.

Mais tout cela n'est qu'une observation générale effectuées par les chercheurs, cela est donc tout à fais possible qu'un garçon sois atteint de TCA, ou qu'une jeune fille sois agressive pour exprimer son mal-être.

Les causes du mal-être de l'ado

Elles peuvent être très anodines parfois. Parmi les plus communes:

• Un isolement, une sensation de solitude trop pesante
• L'ado se fais harceler en cours (que ce sois physique ou moral)
• Une agression quelconque
• Une séparation des parents qu'il supporte mal
• Une séparation amoureuse ou même en amitié
• Une accumulation de plus de 3 malheurs (décès, séparation, agression...) en moins d'un an peut aussi emmener l'ado doucement vers la dépression, et cela est valable dans toute sortes de dépression

Comment remédier au problème?

Si vous êtes parents, Il faut d'abord en parler avec l'ado, doucement, il ne faut surtout pas le forcer. Essayez par exemple de lui dire "J'ai vu que tu n'avais pas l'air bien, est-ce qu'il y à quelques choses dont tu voudrais me parler?" Et ne surtout pas l'aborder après une dispute ou quand il n'a pas l'air ouvert,en lui disant par exemple "Pourquoi tu fais tout le temps la gueule?" Cela le repoussera d'avantage et vous creuserez un fossé entre lui et vous. Aussi, attendez d'être seul avec lui, au calme, et quand il à l'air d'humeur à parler, l'ado ne se confiera sûrement pas si vous êtes entourés de monde. Bien sur, n'insistez pas si il ne veux pas, sous peine qu'il ne se renferme sur lui même. Ne lui dîtes rien, et revenez lui en parler un autre jour, ou alors essayez de le rassurer en lui faisant comprendre que vous êtes là, et que vous ne le jugerez pas. Dernière règle à suivre, si vous découvrez qu'il s'automutile ou qu'il est atteint de TCA, ne l'engueulez pas, et ne lui faites pas promettre d'arrêter. Cela ne servira à rien. C'est compréhensible d'être en colère envers son ado lorsque l'on découvre ça, mais si vous vous morfondez ou que vous l'engueulez, il va penser qu'il à fais quelques choses de mal et de douloureux pour vous, et il va culpabiliser, ce qu'il ne faut surtout pas qu'il arrive. Dîtes lui que cela vous attriste grandement, mais qu'avec votre aide, il va s'en sortir.

Après avoir parlé à votre ado et si il est d'accord pour être soigné, la meilleure solution reste de consulter un psy spécialisé chez les ados, et de continuer à le soutenir quoi qu'il arrive. Cela est autant un combat pour l'ado que pour les parents.

Si vous êtes l'ado concerné: Il existe peu de solutions lorsque l'on est ado, et atteint de dépression. Vous pouvez tout d'abord en parler à vos parents, ou à un proche (amis ou autre), ce qui n'est pas toujours facile. Ils vous aideront alors à trouver l'aide nécessaire. Si vous voulez le garder pour vous, il existe aussi des psys gratuit, pour ado, renseignez vous, par exemple à l'infirmerie de votre école.

Référez-vous aussi aux articles sur les solutions

Je pense avoir tout écris sur la dépression des ados, si vous avez la moindre questions, n'hésitez pas à écrire un commentaire.

Aujourd'hui, n'étant pas en assez bonne forme pour vous faire un article complet, j'ai décidé de vous donner le lien de deux test de dépression.

Test dépression de Beck

Test dépression de Hamilton

Aujourd'hui, nouvel article dans la catégorie "symptômes". Je vous le rappelle, cette catégorie rassemblera l'ensemble des symptômes que l'on peut rencontrer en cas de dépression nerveuse, mais en plus approfondi, et forcément, je donnerais un peu mon avis sur la chose.

Donc se soir, j'ai décidé de parler de la tristesse, qui est le sentiment rencontré dans toute les dépressions. Plus ou moins intense, plus ou moins supportable, certes, mais la tristesse fais parti des symptômes de la maladie.

La tristesse est normale, mais il ne faut pas la laisser empiéter.

Alors oui, la tristesse est un sentiment désagréable, mais important, nous en avons besoin pour avancer dans la vie. Elle fait parti des 6 émotions fondamentales identifiées par Ekman, dont le bonheur, la peur, la colère, la surprise et le dégoût. Des émotions que nous avons tous ressenti et tous surmontés, et la tristesse n'en fais pas exception. Mais si celle-ci dure dans le temps, qu'elle nous handicap, et qu'elle nous empêche de prendre du plaisir à des choses habituellement agréable, alors il y a possibilité d'un début de dépression. Il faut donc être particulièrement vigilant. Les plus grosses dépressions peuvent démarrer de petites tristesses anodines, que l'on a cumulées et laissé aller par la suite. Alors n'oubliez pas de bien soigner vos petits chagrins pour éviter qu'ils ne s'aggravent.

Savoir différencier la tristesse "normale" de la tristesse ressentie lors d'une dépression.

A savoir que les tristesses dû à un malheur du quotidien et de la vie, et la tristesse d'une dépression sont particulièrement différentes. En effet, les tristesses "de tout les jours" peuvent être douloureuses, mais on s'en remet, elles durent généralement moins d'un mois, elles ont une raison d'être, et les personnes concernées ont souvent leurs recettes secrètes pour se réconforter, comme regarder la télé, manger du chocolat (véridique), discuter, faire du shopping, ou bien d'autres encore.
Lors d'une dépression, la tristesse est particulièrement intense, douloureuse, incompréhensible et envahissante. Elle n’est pas directement reliée à une cause, rien ne l’apaise, elle se mêle d’angoisse et d’un sentiment de fatalité, et est souvent accompagnée de pleurs sans motif et d’un sentiment de désespoir.

J'espère que ça vous aura plu, bon courage à vous!

A quoi ça sert?

Les antidépresseurs sont tout simplement des médicaments que votre psy peut vous prescrire contre les états dépressif et les idées noires. Il en existe plusieurs sortes: norset, paroxetine, prozac, etc...  En général, il faut attendre entre 10 jours et 4 semaines pour percevoir les effets tranquillisants du traitement. Et puis un petit détail, juste pour l'idée: Un Français sur 4 aurait déjà pris des antidépresseurs.

Les effets secondaires

Comme tout les médicaments, les antidépresseurs ne sont pas dépourvus d'effets secondaires. Chaque traitement ayant des effets différents, comme avoir la bouche sèche, faire des insomnies, il faudra le choisir avec minutions avec l'aide de votre psy. Généralement, plus la dose est haute et plus le risque d'avoir des effets secondaires est haut. Toutefois, sachez que le corps s'habitue aux effets secondaires ce qui les rend plus supportable, et souvent, les bénéfices de l’antidépresseur surpassent ses côtés négatifs.

A ne pas confondre avec les anxiolytiques

Les anxiolytiques sont des médicaments contre l'anxiété et l'angoisse. Mais il n'est pas rare de le voir associé aux antidépresseurs le temps que ces derniers fassent leurs effets.

Dans tout les cas, que ce soit anxiolytique ou antidépresseur, il à quatre règles essentielles à respecter:

• Ne pas en prendre sans prescription
• Ne pas changer les doses que votre médecin ou votre psy vous à prescris sans lui en parler
• Ne pas arrêter un traitement d'un seul coup, car non seulement votre dépression et vos angoisses vont revenir, mais en deux fois pire sûrement
• Ne pas en abuser, sous risque d'en devenir dépendant

Ne m'y connaissant pas beaucoup sur ce sujet, j'ai essayé d'en faire le tour, encore une fois, j'éspère que ça vous aidera.

Qu'est-ce que la dysthymie? Que faut-il savoir sur cette maladie?

La dysthymie, ou aussi appelée dépression chronique, est un état de tristesse et de souffrance morale ressentie de façon constante, mais dont les symptômes sont trop bas; pas assez intense et pas assez nombreux; pour être considéré en tant que dépression majeure. Les médecins considèrent qu'un patient est atteint de dysthymie si l'état dépressif persiste pendant au moins 2 ans, et au moins 1 an chez les adolescents. La personne doit également ne pas passer plus de 2 mois sans ressentir au moins 2 des symptômes ci-après :

• Changements de l'appétit
• Manque de concentration, agitation
• Manque d'énergie, fatigue
• Mauvaise estime de soi
• Sentiment de désespoir
• Sommeil irrégulier
• Irritabilité (en particulier chez les ados)
• Impossibilité d'organiser ses idées, sentiments d'être "perdu"

Il reste aussi à préciser qu'au cours des 2 ans, il n'y aura pas de crise de dépression majeures, bien qu'il y ai pu en avoir une dans le passé. Une dysthymie non diagnostiquée risque de conduire à l'abus de substances toxiques telles que drogue ou alcool, ou peut même conduire au suicide.

Le problème majeur de la dysthymie est qu'il est très difficile d'en faire le diagnostic, les patients, persuadés d'être comme ça de nature, ne se plaignent pas forcément et supportent la douleur durant plusieurs années, parfois même toute leur vie. Lorsqu'ils vont voir le médecin c'est plus pour se plaindre de maux physique plutôt que psychologique, alors que les deux sont liés. Cette maladie commence souvent de façon discrète et précoce (enfance, adolescence ou début de la vie adulte). Sa sévérité risque de s’accroître avec les années si elle n’est pas traitée.

Comme prévu, voici l'article sur la dépression chronique. Comme d'habitude, si vous avez des questions, faites le dans les commentaires, enfin, je ne vais pas le répéter à chaque fois ça, je crois que vous avez compris maintenant! J'espère que vous serez de plus en plus nombreux à suivre mon blog, j'espère qu'il vous aide, et surtout, dépressif ou pas, je vous souhaite bon courage!